mercredi 4 mars 2009

Desire is Hunger is the Fire I breathe

Si c'est pas une putain d'énorme phrase, ça quand même... qui, pour la petite histoire, fut écrite par Bruce Springsteen.
Alors qu'il enregistrait dans le même studio que Patti, il lui refila cette bombe atomique (le dingue !) parce qu'elle ne fittait pas dans son album. Patti la féminisa, la recorda, la balança sur les ondes, et bim, le carton.
Pas totalement dépossédé, Bruce la chante quand même dans la plupart de ses concerts, avec ses paroles de mec (pas dans le même ordre et à base de I'm working all day - sous-entendu j'ai bien mérité de tirer un coup ?), et son bandana dans les cheveux pour qu'on oublie pas où il est né.
A l'arrivée, c'est assez intéressant, ça donne par exemple ça :



Merde, c'est la version sans le bandana. Dilemme : elle est mieux qu'avec, mais j'aimais bien la vanne. Bon allez je laisse, il est tard.
Mais bon n'en déplaise aux fans de Bruce, je continue à me rouler par terre en bavant sur la version originale de Patti.
Ou sur ce petit unplugged des familles, fort plaisant également :



Allez, sur ce bonne nuit, et souvenez-vous à qui elle appartient.

2 commentaires:

  1. Frissons dans l'dos et chaire de poule (mouillée)
    bbbrrr ;o)

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  2. T'inquiète, comme dit Patti, they can't hurt you now, can't hurt you na-a-a-a-a-aow

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