lundi 30 mars 2009

Quart d'heure (young) américain

Moi je, j'ai le sentiment diffus de devoir me racheter, après vous avoir infligé ce terrible appel en PCV, terrible parce que tellement triste, le pauvre Herr Komissar qui se fait larguer par une meuf bien plus riche que lui en pécévé...
Au passage, j'ai découvert avec consternation que le texte de cette daube a été commis par Boris Mékeskicépacédantatete Bergman !!!

Revenons donc aux fondamentaux de la beauté, échauffez-vous la langue parce que là y a comme un gros risque de devoir rouler des pelles dans les 6 minutes de cours de chant qui viennent.



dimanche 29 mars 2009

Je vous ai manqué ?

Désolé, j'étais séquestré par Paméla dans une île paradisiaque mais où le haut débit n'existe que pour les boissons.
Mais bon, je suis de retour, et je vais prouver que vous auriez pu vous passer de moi encore quelque temps. Car au fond de moi, je suis, mmmmmmmmmmmmmmmmmmfmfmfmfmfmmmm un sale bonhomme.
La preuve :




Merci Paméla d'avoir partagé ta science musicale avec moi, même si maintenant tout est fini entre nous.

vendredi 20 mars 2009

We have to move on

Parce qu'il faut bien accepter, tourner la page et passer à autre chose (mais qui ?), une petite musique légère, idéale pour accompagner Alain dans sa montée au firmament des énormes gens.





Bon c'est pas pour ça qu'on va pas bouffer du Bashung par les oreilles demain au Café Bonnie, hein...

lundi 16 mars 2009

Comment te dire adieu ?

Je revois Hélène en larmes sur ce morceau, la révélation qu'a été pour elle cet immense concert, à l'Olympia, il y a, putain, 15 ans. Tous ces poils dressés au fil des ans, ces quatre fois où je t'ai vu qui sont les quatre concerts les plus incroyablement et simplement beaux de ma vie. Jusqu'à l'an dernier, encore à l'Olympia, tellement digne, tellement la classe absolue.

Pour quiconque ne l'aurait pas, c'est le moment d'acheter Confessions Publiques. Un des plus beaux disques du monde.



samedi 14 mars 2009

Seule particularité : élégance

Je propose d'écouter ça. Et de ne rien ajouter.



jeudi 12 mars 2009

Pilleur de mur

Aujourd'hui, j'ai décidé de piller le mur de Pushka, une fille chouette qu'a un chouette blog qui est juste là.
Hier, elle m'a tellement défoncé avec une vidéo des Jackson Five qu'elle a déposé sur son mur facebook, que je ne résiste pas au plaisir de partager ce grand moment. Bon j'ai pas mis la même version, parce que faut bien se démarquer, et puis dans celle-là moi je je trouve qu'il y a un niveau de merveillisme encore plus élevé...
Merveilles du stylisme, merveille du brushing friso-défrisant de Jermaine... Et merveille atomique de Michael, qui fait une fois de plus mal au cœur, rétrospectivement s'entend...



Maintenant vous savez ce qu'il vous reste à faire : danser, et taper des mains.
Tiens, par exemple, là :

mercredi 11 mars 2009

Let the Sun go down on me

Comme dirait ma copine Pamela, j'irais bien me faire bronzer le sillon inter-fessier...
Peut-être est-ce pour cette raison que j'ai eu envie de réentendre cette hautement improbable reprise de BB par H. ? Sans doute...



dimanche 8 mars 2009

Attentisme

Il y a quelques années, pas mal d'années en fait, ma best oldest friend fit la rencontre d'un jeune artiste new-yorkais, du nom de Ken Webb. Au nombre de ses talents et achievements figure ce court-métrage, que j'avais adoré à l'époque, et auquel j'ai repensé cette semaine, ayant le sentiment que beaucoup de gens autour de moi attendaient beaucoup de choses (bon, particulièrement un qui attendait quelqu'un qui est enfin arrivé, bienvenue little Marie - désolé je ne peux pas écrire le mot français correspondant à little juste devant le prénom Marie, c'est au-dessus de mes forces, ça me vrille le crâne comme si je prenais un coup de sarbac... euh, non plus).
Magie de l'Internet, deux secondes plus tard, je suis devant... et c'est toujours aussi bien...



Bonne semaine, les gens.

vendredi 6 mars 2009

Aï wa doraggu - Rokishii Myujikku

Non sans une certaine continuité avec Desire is Hunger, Love is the drug (et non, I'm not in love, je vous arrête tout de suite) pour le plaisir de les oreilles, avec la pochette japonaise pour le plaisir de les oeils. Et vous pouvez même réviser votre prononciation japonaise grâce au titre du post.
Je vois pas ce qu'il vous faut de plus...





Et sinon, BON ANNIVERSAIRE CLAIRON !!!

jeudi 5 mars 2009

Oui messieurs-dames, j'ai un travail

Une fois de plus, environ la troimilliondeucencinquantroizième, des échos me reviennent quant à la mystériosité de moi je, de ce que je fais en vrai quand je blogue pas, et bien sûr quant à la faible crédibilité de moi je assurant un vrai travail compte tenu des 823 posts quotidiens moyens (pas en qualité hein, je parle de nombre moyen) que je balance sur facebook.
Et pourtant, si, je le répète, croyez-le ou non, j'ai bel et bien un bien beau travail dans le monde tellement excitant de le conseil en marketing.
En gros, c'est ça :



Pas trop déçus ?

mercredi 4 mars 2009

Desire is Hunger is the Fire I breathe

Si c'est pas une putain d'énorme phrase, ça quand même... qui, pour la petite histoire, fut écrite par Bruce Springsteen.
Alors qu'il enregistrait dans le même studio que Patti, il lui refila cette bombe atomique (le dingue !) parce qu'elle ne fittait pas dans son album. Patti la féminisa, la recorda, la balança sur les ondes, et bim, le carton.
Pas totalement dépossédé, Bruce la chante quand même dans la plupart de ses concerts, avec ses paroles de mec (pas dans le même ordre et à base de I'm working all day - sous-entendu j'ai bien mérité de tirer un coup ?), et son bandana dans les cheveux pour qu'on oublie pas où il est né.
A l'arrivée, c'est assez intéressant, ça donne par exemple ça :



Merde, c'est la version sans le bandana. Dilemme : elle est mieux qu'avec, mais j'aimais bien la vanne. Bon allez je laisse, il est tard.
Mais bon n'en déplaise aux fans de Bruce, je continue à me rouler par terre en bavant sur la version originale de Patti.
Ou sur ce petit unplugged des familles, fort plaisant également :



Allez, sur ce bonne nuit, et souvenez-vous à qui elle appartient.

mardi 3 mars 2009

(May the good Lord) Shine a Light on us

Pour célébrer cette belle journée ensoleillée, un bon gros rayon musical qui pourra irradier de sa chaleur ceux qui n'ont pas cette chance.
Pour l'occasion, je me suis penché sur l'histoire de cette chanson, et j'ai failli tomber tellement c'est vertigineux...
D'abord, j'apprends avec stupeur que la toute première version, avant même celle de son auteur Bobby Hebb, est le fait de la chanteuse japonaise Mieko Hirota, connue notamment pour avoir repris Poupée de Cire en japonais...
Et puis, vertigineuse, vient la liste non exhaustive des gens qui l'ont chantée. On se tient bien ? Cher, George Benson, Frankie Sinatra, Stevie Wonder, Ella celle qui l'a, The Four Seasons, The Four Tops, Wilson Pickett, Shirley Bassey, Dusty Springfield, Johnny Mathis, Del Shannon, Marvin Gaye, Jamiroquai et bien sûr les inénarrables Boney M. (l'oubli de Christophe W. n'est pas un oubli).
Je suis loin de les connaître toutes, mais s'il y en a une qui me renverse, c'est bien celle-ci.



lundi 2 mars 2009

Pour le blackout, peignons-le en noir

Vous aurez noté, ou pas, le petit bandeau noir en haut du blog depuis quelques jours, même si je vous l'accorde, noir sur noir, c'est pas dingue en termes de catching de l'eye du visiteur.
Ceci dit, il me semble quand même important de soutenir cette initiative contre le projet dit HADOPI, qui veut nous couper le robinet du net et décréter unilatéralement quels sont les bons sites consultables et les méchants sites pas beaux à blacklister.
S'il faut indubitablement trouver un moyen de rémunérer équitablement les artistes et leurs producteurs, les sanctions envisagées par notre bon président sont tout bonnement disproportionnées.
Moi je, oui je télécharge des trucs illégalement, ça m'arrive. Moi je, je peux aussi vous montrer mes relevés d'Amex, sur lesquels l'iTunes Store apparaît toutes les deux lignes. Moi je je refuse donc l'amalgame téléchargement = vilain pas beau puni privé de web.

Mais reparlons donc de bonne musique (Camille, Arthur H., Alain Bashung, plutôt réussi le palmarès des Victoires malgré quelques autres moins glorieux), cette histoire de blackout est aussi l'occasion de réécouter (si vous avez un peu de temps devant vous) ce chef-d'oeuvre énorme d'Eric Burdon & War, ou Peins-le en noir sur tous les tons, 4 covers en 1, un vrai bijou bijou, un diamant (noir).