dimanche 30 novembre 2008

Un Cat dans la gorge

Mais pas n'importe lequel.





Enjoy.

samedi 29 novembre 2008

Joaquin, you gotta be kiddin' ?!

La dernière fois que j'ai pleuré au cinéma, c'était Eric Caravaca dans la Chambre des Officiers. Je viens de vérifier, c'était en... 2001. La fois d'avant, ça devait être Kramer contre Kramer (obligé), et encore avant sûrement Bambi.
Et là je sors de


et je dis Joaquin, ton intention d'arrêter de faire des films est proprement scan-da-leuse. T'as pas le droit. Pas après ce que tu viens de me faire.

vendredi 28 novembre 2008

Autre temps, autre conception des pains dans la gueule

Ce titre sur lequel je suis tombé par hasard au détour de mes périgrinations webesques me fait littéralement halluciner...
Des filles qui chantent "Il m'en a collé une et c'est comme s'il m'en avait roulé une" ? Vous y croyez ??? Et ben si, ça existe :


En creusant un peu, l'histoire de ce morceau invraisemblable est la suivante : "Carole King and Gerry Goffin wrote this. They were inspired to write it after Little Eva told them about her relationship with an abusive boyfriend who beat her almost on a regular basis. When they asked her why she tolerated the abuse, she answered that it symbolized how much he loved her."
Bon, enfin, la bonne nouvelle c'est que ça a fait un bide, et que le groupe lui-même ne l'aimait pas... La nouvelle bizarre, c'est que c'est un des morceaux préférés du monde de... Amy Whinehouse

Adoucissons les (hu)moeurs

Au départ, il y a très longtemps, au tout début de ce blog, il y a 3 jours, donc, l'idée c'était d'alterner plein de trucs différents avec d'autres trucs pas pareils. Un jour un disque, un jour un film, un jour une humeur... Mais là en fait, vu la gueule de mon humeur, tout bien réfléchi, je vais en rester à la musique pour aujourd'hui. Ca va être beaucoup mieux pour tout le monde. Y aura moins de gros mots, à part peut-être un "putain" comme dans "un putain d'énorme morceau", mais bon c'est pas vraiment un gros mot, ça.

Alors voilà, moi je, en ce moment, je suis à donf les ballonnettes sur un excelllllent putain de groupe des 60s dont j'avais oublié l'existence et qui m'est revenu en pleine face récemment, par je ne sais quel truchement (et hop, un truchement de placé, ça détend), excelllllent groupe donc répondant au doux nom des Yardbirds, réunissant des petits jeunes qui par la suite ne s'en sont pas trop mal sortis dans la vie de la musique de rock and roll : Eric Clapton (tiens ça me dit quelque chose), Jimmy Page (ah ouais c'est qui ça déjà ?)...



Et parmi leurs oeuvres d'une splendeur assez splendide, si on s'écoutait "You're a better man than I", comme ça on pourra se dire qu'on est super engagés et que les préjugés et le racimmze, c'est pas joli, tout en écoutant un "putain d'énorme morceau".

jeudi 27 novembre 2008

mercredi 26 novembre 2008

Auto-promo

Dans le cadre de ma passion pour le débat d'idées, moi je je trouve que cette soirée du samedi 29 novembre organisée par de bons amis sur la péniche dite Nix Nox, sise port de la gare dans le 13e arrondissement de Paris, non loin de la Bibliothèque FM (qui contre toute attente n'est pas une radio qui lit des livres) devrait être de la balle...
Mais qu'est-ce qui te fait dire ça, me demandez-vous en choeur ?
Plusieurs choses, à vrai dire, me font dire ça, et il faut bien ça pour faire exister une soirée dans la multitude...
La première chose, c'est que j'y mets des disques, ce qui me semble un élément de nature à laisser entrevoir une programmation pas trop dégueu.
La deuxième chose, c'est que les organisateurs sont gentils et pas fatigués.
La troisième chose, c'est que 10 consos pour 35 euros, c'est pas cher, et ça permet d'oublier si la musique, par extraordinaire, venait à ne pas te satisfaire...
La quatrième chose, aka la bonus reason, c'est qu'une soirée sur une péniche c'est l'occasion de nombreux calembours désopilants à base du mot "péniche" et d'accent portugais.



Mais comme rien ne vaut une opinion forgée par ses propres soins, je t'invite à venir forger la tienne (attention, tu dois amener ton propre matériel de forgeage d'opinion, l'organisation ne pouvant fournir tout le monde en neurones et libre-arbitre).

mardi 25 novembre 2008

Ca commence aujourd'hui

Les raisons qui m'amènent aujourd'hui à créer une telle page alors que c'était la mode il y a 5 ans sont nombreuses, imbriquées et complexes... Je ne les développerai pas, ou pas toutes, de peur de vous assommer d'emblée, ce qui n'est pas le but recherché...
Envie de partager des trucs, envie d'écrire des trucs pour cultiver ce petit talent que certains me trouvent et m'encouragent à développer, envie de m'aérer la tête, envie de balancer des jugements pleins de nuance dont j'ai le secret ("comment c'est trop le meilleur morceau du monde" vs. "jamais entendu un truc aussi mauvais")...

A tout seigneur tout honneur, et comme j'en ai parlé très près du visage à des gens récemment (oui, il paraît que je parle très près du visage, passées une certaine heure et/ou une certaine alcoolémie), je vous colle d'entrée le plus beau morceau du monde, comme ça c'est fait et puis on en parle plus.
Si tu avais envie de pleurer et que ça ne voulait pas sortir, c'est ici.
Si tu doutais de la puissance maximale que pouvait atteindre une décharge émotionnelle musicale, c'est ici aussi.
Ils s'appellent A Filetta et ça s'appelle Sumiglia. Un jour peut-être j'aurais envie de savoir tout ce que ça veut dire, mais pour l'instant même pas, tellement cette invraisemblable chair d'énorme poule mutante me suffit à chaque fois.